A retenir :
Quatrième édition de la Saint-Barth Cata Cup du 16 au 20 novembre
D’abord avec 14 équipages lors de la première édition, - et déjà 1 champion du monde présent ! puis 35 équipages pour la deuxième édition dont deux champions du monde.
En Métropole, comme aux Etats-Unis, en Italie, en Belgique, aux Pays-Bas, la renommée de la Saint-Barth Cata Cup se répand comme une traînée de poudre sur les parkings de Formule 18, la série de référence en catamaran de sport. La régate est reconnue par la classe F 18, et se classe rapidement parmi les dix meilleures au monde !
Passionnés et champions font des pieds et des mains pour s’inscrire, si bien que pour cette troisième édition un numerus clausus bloqué à 50 participants – les inscriptions ont été bouclées en 48 heures ! a été obligatoire par obligation logistique, mais aussi pour garder l’esprit intact de la Saint-Barth Cat Cup. Une régate exotique qui a trouvé le juste équilibre entre passions et champions.
Les ingrédients de ce cocktail nautique sont simples et savoureux. Un subtil mélange de régatiers de haut vol confrontés à des passionnés en mode régate.
Cette année, après Olivier Backès champion du monde de Formule 18 en titre l’an passé, c’est au tour de l’Australien Darren Bundock, multiple médaillé olympique et champion du monde 2012 de venir briller sur la Saint Barth Cata Cup.
Manu Boulogne, fidèle de l’épreuve et champion du monde 2003, sera présent sur son Cirrus R.
Le Hollandais Mischa Heemskerk vainqueur en 2009, champion d’Europe 2007, troisième du championnat du monde 2008, revient pour la victoire.
Yvan Bourgnon ne raterai pour rien au monde une édition de la Saint-Barth Cat Cup.
Sans oublier les Américains John Casey et Dalton Tebo vainqueurs de la dernière édition.
Sur l’eau bleu turquoise pas ou peu de bouées mais des marques aux intonations tropicales comme la Pointe Milou, l’île Chevreau, les Grenadins, l’île Toc Vert, Saline, Gustavia ou le Pain de sucre. Les parcours côtiers sont sublimes avec les pièges de la côte sous le vent à négocier et de grands bords sous spi dans les eaux translucides de la côte au vent. Le format est lui aussi inhabituel avec seulement une à deux manches par jour, avec l’incontournable et attendu tour de l’île en point d’orgue, pour laisser le temps aux participants de goûter aux plaisirs de Saint-Barth.
Voile de haut niveau, soleil, tropique, un rendez-vous à ne surtout pas rater.
Le programme :