A retenir :
Marseille, Amsterdam, Saint-Malo, Miami, Saint-Barth
Les inscriptions bouclées en 48 heures
« Une régate sans équivalence », « La régate où l’on se fait vraiment plaisir », …
Le rendez-vous des « mangeurs de bouées » et des amateurs éclairés.
De tous les horizons, de tous les niveaux, les coureurs se battent pour décrocher une place pour la Saint-Barth Cata Cup. Cette année encore, les inscriptions ont été bouclées en un temps record. En l’espace de 48 heures, le quota des 50 équipages était atteint. Les coureurs allant jusqu’à se relancer au milieu de la nuit pour se prévenir au fur et à mesure que la liste d’inscription se remplissait sur Internet !Tous les engagés ont conscience d’être des privilégiés et n’échangeraient leurs places pour rien au monde.Nicolas Cau, ancien membre de l’équipe de France de 49er profite de la Saint-Barth Cata Cup pour découvrir la série Formule 18 et surtout pour venir s’étalonner aux meilleurs.« Mon sentiment est que le Formule 18 est un des rares supports qui permet de regrouper des coureurs de très haut niveau olympique et des amateurs très sérieux. La Saint-Barth Cata Cup est un événement exceptionnel dans un contexte paradisiaque qui se prête parfaitement au catamaran. Sur la régate on croise deux populations différentes. Des équipages issus de l’olympisme qui « mangent de la bouée » toute l’année et des amateurs très éclairés. Il n’y a que des équipages qui « savent conduire » ! avec en commun une super préparation. Dans un tel contexte pas étonnant que les places soient aussi convoitées. Cette régate n’a aucune équivalence. C’est une offre qui défie toute concurrence ! »
Patrick Carro, chef d’entreprise breton « addict » à la régate, participe pour la troisième fois à la Saint-Barth Cata Cup. « Cette régate est un moment que l’on attend avec impatience. C’est du soleil dans notre ciel sombre hivernal avec en plus un challenge pour les compétiteurs que nous sommes. Une régate au format de la Costarmoricaine – le championnat de France des raids, mais avec le soleil et la chaleur en plus. Un rendez-vous que l’on ne raterait pour rien au monde. C’est la régate où l’on se fait plaisir. Une régate où l’on croise le Top 10 mondial et l’où on peut se mesurer aux meilleurs. Faire un milieu de tableau avec un tel plateau fait vraiment plaisir. »
Mischa Heemskerk, figure du circuit Formule 18, vice-champion du monde en titre, est lui aussi un fan de la Saint-Barth Cata Cup. Une régate qu’il aborde sans pression même s’il sait qu’il va croiser de sérieux concurrents sur le plan d’eau. « C’est une régate plaisir que j’aborde sans aucune pression. Presque des vacances. Mais je reste toujours un compétiteurs dans l’âme et je sais que les autres concurrents ne me feront pas de cadeaux. A Saint-Barth, je vise une place dans les cinq premiers. » Réponse dans quarante-huit heures sur l’eau….